Pression et mal de tête
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neon1212
Inscrit le 08/04/2007 |
# 8 avril 2007 17:53 | |
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Depuis des jours je cherche sur google mais les reponses sont toujour les memes et peu satisfaisante. Lors de mes deplacement en haute altitudes (avion de ligne) j ai le mal de tete assez classique a la descente.Pas de solution miracle, si j ai bien compris, mais pourquoi la pression varie tant alors qu elle est normalement reglée dans l avion .? Certain fois c est insuportable et d autre fois, ca passe. |
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Simon
Inscrit le 30/08/2005 |
# 8 avril 2007 17:56 | |
| La pressurisation d'un avion se fait à une altitude de 3000 m. Donc lorsque l'on passe sous les 10 000 pieds, la pression dans l'avion redevient égale à la pression extérieure. De fait,on subit alors à nouveau la variation d'altitude entre 3000 mètres et le sol. | ||
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BDU76
Inscrit le 16/10/2006 |
# 8 avril 2007 20:25 | |
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lLes règlements aéronautiques imposent que tout avion de transport public volant à une altitude supérieure à 6 000 mètres (20 000 pieds) doit être pressurisé et qu’il doit rétablir une "altitude" cabine à une valeur maximale de 2 438 mètres en vol normal (8 000 pieds). (Message édité par BDU76 le 08/04/2007 20h32) |
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vonrichthoffen
Inscrit le 07/08/2006 |
# 9 avril 2007 00:00 | |
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C'est un problème que connaissent bien les gens de montagne, ceux qui par exemple habitent à 900 m d'altitude dans un fond de vallée alpine et qui prennent tous les jours un télécabine pour aller travailler parfois à plus de 3000m, qui dans une resto d'altitude, qui sur une remontée mécanique, etc.... Sans oublier les fous de la glisse qui peuvent répéter l'opération plusieurs fois par jour. Si mes souvenirs sont bons (à confirmer ou infirmer svp,si un toubib lit ce topic) : Les poumons sont le lieu où les pressions partielles des gaz en dissolution dans le sang s'équilibrent avec celles des gaz de l'air ambiant. En cas de diminution de la pression de l'air ambiant, cas d'une montée rapide, il se produit un dégazage au niveau des capillaires des alvéoles pulmonaires, qui rapidement rééquilibre les pressions partielles des gaz du sang et de l'air ambiant. Ce phénomène se produit aussi dans une moindre mesure au niveau des capillaires des sinus, et pour peu que ceux-ci soient encombrés, il y a augmentation locale de la pression à l'intérieur du sinus, ce qui provoque une douleur, parfois très pénible. D'où l'intérêt de veiller à avoir les sinus dégagés lorsque l'on sait que l'on va faire 2800 mêtres de dénivelé positif rapidement, que ce soit dans une benne de transport par câble ou dans une cabine d'avion. Un truc de la médecine populaire : bien se nettoyer le zen en sniffant de l'eau tiède bien salée et en la rejettant par la même voie, plusieurs fois de suite jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de mucosités. En ce qui concerne le mal de tête à la descente, je n'en connais pas la cause. Pour ce qui est du mal de l'altitude et du risque d'oedème pulmonaire, il n'y a pas de vraiment de danger pour une personne en bonne santé en dessous de 3600-3800 mètres. |
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neon1212
Inscrit le 08/04/2007 |
# 9 avril 2007 00:00 | |
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Ha zut.. c'est bête... Effectivement c'est vers 3000/4000m que mes sinus explosent. Merci bien |
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