la propulsion électrostatique
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MRJAEJ
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# 3 mars 2010 15:08 | |
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***** Chers amis, Bonsoir ! Vous nous comprendrez sans doute : nous avons cédé à la tentation et nous sommes allés tourner autour de la maison, sans déranger les gens… Connaissant l’adresse, - Sames Technologie – F 38240 MEYLAN – avec l’aide de Google, ce fut un jeu d’enfant. Si cela vous tente, voici le lien : http://www.businesspme.com/entreprise/1 ... ogies.html ***** Nous n’avons pas voulu déranger. Ce n’est pas que nous n’aurions pas eu de question à poser, mais c’est toujours un tel problème, dans les entreprises, pour trouver quelqu’un qui veuille écouter des amateurs curieux de préhistoire, que nous avons préféré la discrétion. ***** De même, nous n’irons pas frapper à la porte du Cern à Genève, pour leur demander si, par hasard, il ne leur reste pas dans un coin, à l’état neuf, naturellement, un générateur de Félici dont ils pourraient nous faire cadeau … C’est grand, le Cern et, en ce moment, ils ont autre chose à faire que de recevoir les curieux … http://fr.wikipedia.org/wiki/Organisati ... %C3%A9aire ***** Pour nous, il nous suffit de savoir que le générateur de Noël Félici a été construit commercialement pendant près de trente années, qu’il a parfaitement fonctionné et qu’il suffirait d’une motivation, que le besoin s’en fasse sentir, par exemple, pour qu’il puisse être à nouveau proposé au public. ***** Une motivation ? C’est sans doute sur ce point précis que bute l’électrostatique. Nous avons pratiquement terminé l’histoire de cette science, de cette recherche, de cette passion, avec l’aventure du générateur de Noël Félici et cette fin prosaïque : après la recherche nucléaire, il n’est plus resté à ce génial montage d’autre utilisation que la peinture électrostatique ! On a beau dire qu’il n’est pas de sot métier, on ne nous empêchera pas de penser que c’est regrettable, sinon lamentable ! http://www.sames.com/fr/produits/indust ... /index.php ***** Nous savons bien que l’électrostatique poursuit sa carrière dans le domaine des accélérateurs de particules, mais le souci de Noêl Félici était de mettre cette source d’énergie à la disposition de tous dans la vie courante. La peinture industrielle était-elle, en 1970, la seule utilisation possible de l’électrostatique en dehors de la recherche nucléaire ? http://wapedia.mobi/fr/No%C3%ABl_Felici ***** Ce choix ne correspond pas à ce que disait Noël Félici dans le texte de 1960 que nous vous avons donné à méditer. Pour lui, la technologie n’était pas allée au bout des possibilités de l’électrostatique. Un avenir immense s’ouvrait devant cette technique… Il n’était pas question de peinture au pistolet ! ***** Chers amis, merci pour votre attention. Nous reprendrons prochainement cette finale de notre exposé sur l’électrostatique. Au plaisir de vous retrouver. Le groupe MRJAEJ _________________ Il faudra considérer les courants électriques ... comme un mouvement de masses électriques vraies ... (Einstein 1899 lettre à Mileva) |
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MRJAEJ
Inscrit le 19/10/2009 |
# 8 mars 2010 10:52 | |
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Chers amis, Bonjour ! Les réponses aux questions que nous n’avons pas posées, par discrétion, nous les avons trouvées dans les textes. Elles sont ce que nous pouvions craindre. Dans le premier texte, qui nous parle de Noël Félici, on nous dit (page 2) que les générateurs de Félici connaissent un gros problème de maintenance et que, peu à peu, ils sont remplacés… http://wapedia.mobi/fr/No%C3%ABl_Felici ***** Dans le deuxième texte, qui nous parle des accélérateurs de particules, on nous dit ceci (page 6 -10.1.) : - La Sames construisit et commercialisa des générateurs Félici … jusqu’à ce qu’ils soient détrônés par les générateurs à courant redressé.- http://wapedia.mobi/fr/Acc%C3%A9l%C3%A9 ... cules?t=6. ***** L’année 1970 marqua donc la fin de l’entreprise électrostatique de Noël Félici. L’électrostatique continue dans le domaine des accélérateurs de particules, mais l’accès en est réservé aux professionnels, à cause des dangers représentés par les manipulations. http://pagesperso-orange.fr/lyonel.baum/tesla.html *****Qu’allons-nous donc devenir, nous qui prétendions avoir construit un engin propulsé par l’électricité statique ? Nous ne dirons pas que la fin de l’entreprise électrostatique de Noël Félici ne nous affecte pas : ce fut sans doute pour lui un effondrement, malgré tous les honneurs qui lui furent décernés, mais en ce qui nous concerne, nous avons toujours travaillé avec l’électrostatique familière, accessible et sans danger. Tout notre site est fondé sur ce genre d’électrostatique et nous pensons bien continuer la recherche dans ce sens. http://lapropulsionelectrique.neuf.fr ***** Il ne faut pas confondre en effet recherche et construction réelle. Notre recherche nous a conduits à un modèle de propulseur qui reste à construire. Nous savons que notre futur propulseur devrait être, pour l’Arrière, un cylindre horizontal fermé de deux dômes et entouré d’une ceinture, le tout métallisé, et pour l’Avant, un bouquet de pointes métalliques tournées vers l’Arrière. L’Arrière étant branché sur le pôle négatif d’un générateur Haute Tension embarqué et l’Avant sur le pôle positif du même générateur, il se produit, entre l’Avant et l’Arrière, une réaction électrique qui pousse (ou tire…) le total du propulseur vers l’avant, comme va vous le démontrer la modeste vidéo suivante : http://www.youtube.com/watch?v=x-tqV-Q9XMA ***** Que nos engins soient actuellement de simples maquettes qui tournent sur un manège, poussées par l’électrostatique d’une modeste Machine de Wimshurst ne diminue en rien la valeur de la démonstration. Que la Machine de Wimshurst soit trop faible pour propulser un engin réel, nous le savons. C’est justement la faiblesse de cette machine qui nous a permis de faire toute l’expérimentation sans aucun risque d’électrocution. Maintenant, s’il s’agit d’un propulseur réel, pour lequel nous pensions à un générateur de Félici, il va falloir réfléchir… ***** C’est à cette réflexion que nous vous invitons pour le prochain message. Merci à vous pour votre assiduité et votre attention ; à très bientôt. Le groupe MRJAEJ _________________ Il faudra considérer les courants électriques ... comme un mouvement de masses électriques vraies ... (Einstein 1899 lettre à Mileva) |
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MRJAEJ
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# 12 mars 2010 09:46 | |
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***** Chers amis, Bonjour ! La réflexion promise à propos du moteur qui devait faire tourner sur orbite les futurs engins spatiaux tels que nous les envisageons commence par un choix. Le générateur de Félici que nous avions choisi étant, disons, indisponible, pouvons-nous le remplacer par un générateur moderne, construit sur l’électricité d’aujourd’hui et non plus sur l’électrostatique ? Pour nous, comme, semble-t-il, pour la grande majorité des intéressés, la réponse est oui : il n’y a pas deux sortes d’électricité. http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lectrostatique ***** Il n’y a pas deux sortes d’électricité. La première démonstration en est la Machine de Wimshurst elle-même. Nous vous avons promis un exposé sur le fonctionnement de cette machine. Nous vous en donnons ici les grandes lignes : la machine de Wimshurst est en réalité le premier des accélérateurs de particules modernes. Les charges électriques sont produites par le frottement réciproque –balais contre disques-disques contre balais – Elles sont triées en même temps que produites, dans la masse de la barre métallique qui joint les balais, les charges positives sortant d’une extrémité de la barre, les négatives de l’autre. ***** Dès leur sortie des porte-balais, les charges électriques sont prises en charge par les secteurs métalliques collés sur les disques et transportées à grande vitesse (rotation) jusqu’à la sortie, ce qui représente un trajet de un peu moins la moitié de la circonférence. Le même trajet est fait en sens inverse par une charge de polarité contraire qui est transportée, juste en face, par le deuxième disque. C’est ce trajet face à face qui intensifie et accélère les charges. Il est à noter que, à la sortie, les charges sont proprement éjectées et les secteurs redeviennent neutres. Cette Machine est vraiment l’original des accélérateurs circulaires. Voici la galerie étonnante de toutes ces machines présentée par Antonio Carlo M. de Queiroz. Admirez toutes ces réalisations. Cherchez-y la plus grande Machine de Wimshurst jamais réalisée : http://www.coe.ufrj.br/~acmq/electrostatic.html ***** Cette Machine a été construite en 2000, par Monsieur Paul Hendriksen. Les disques ont un diamètre de 2,15 mètres. Elle atteint un voltage de 1MV et produit des étincelles de 1 mètre de long… Le travail est admirable et le résultat spectaculaire, mais ce n’est pas avec ces jouets prodigieux et fragiles que nous ferons tourner nos engins ! ***** Ce que nous retenons, c’est que l’intensification et l’accélération des charges électriques produites par frottement aboutissent ainsi à un courant électrique, positif – négatif. Le même résultat peut être obtenu avec des transformateurs, et autres composants spéciaux en partant de l’électricité du secteur. Ce n’est plus de l’électrostatique, mais ça marche, même si nous trouvons le travail horriblement compliqué. En voici un exemple : http://www.coe.ufrj.br/~acmq/tesla/tefp.html *****La transformation n’est pas à la portée de n’importe qui, c’est évident, mais ça marche. On pourrait se cramponner à l’électrostatique, faire des machines de plus en plus grandes, mais ce ne sera pas notre choix. Pour nous, qui avons dû construire beaucoup de ces montages électrostatiques durant notre recherche, nous avouons aujourd’hui notre préférence pour les montages genre électricité moderne construits par des professionnels. ***** Chers amis, merci pour votre attention et à bientôt. Le groupe MRJAEJ. _________________ Il faudra considérer les courants électriques ... comme un mouvement de masses électriques vraies ... (Einstein 1899 lettre à Mileva) |
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MRJAEJ
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# 17 mars 2010 10:26 | |
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***** Chers amis, bonjour ! Notre dernier message était clair : nos engins vrais ne tourneront pas poussés par la force de l’électrostatique. Nous voudrions que le message d’aujourd’hui soit aussi clair : Nous restons fidèles à l’électrostatique pour toute expérimentation future. Autre expression du même principe : la propulsion électrostatique fournie par une Machine de Wimshurst est trop faible pour pousser les engins spatiaux véritables ; elle est suffisante et sans risque pour l’expérimentation courante où elle demeurera toujours indispensable. http://lapropulsionelectrique.neuf.fr/ ***** Exemple d’expérimentation pour répondre à la question du rapport de l’électricité positive des pointes de l’Avant avec les surfaces de l’Arrière qui sont recouvertes d’électricité négative. Nous avons suspendu des rubans sur le trajet de l’engin : lorsque les pointes touchent un ruban, ce ruban se remplit d’électricité positive. Il est alors repoussé sur la gauche. L’engin continue à avancer. Le ruban vient se coller sur la couronne qui l’entraîne un instant, jusqu’à ce qu’il soit rempli d’électricité négative. Il se détache alors et reprend sa position normale, à la verticale. (attention : sur les vidéos on voit mal les pointes…) http://www.youtube.com/watch?v=n-UEa8BSsAk ***** Le même exemple, en plus rapide, pour illustrer le fait que le ruban n’est jamais repoussé par un courant d’air quelconque. S’il semble aller vers l’arrière, c’est uniquement lorsqu’il se détache de la couronne. Ce qui le ramène en arrière, c’est parce que la gravité, son propre poids, le remet à sa place normale. http://www.youtube.com/watch?v=8k9K3gUZz_A ***** Autre démonstration pour prouver que l’engin est rempli d’électricité et qu’il ne subit pas le vent relatif. Nous posons deux cylindres métalliques légers, l’un à l’intérieur de la couronne, l’autre à l’extérieur, au-dessus. Les deux cylindres ne sont pas emportés par le vent relatif. Ils font partie du champ électrique. Lorsqu’ils tombent, c’est la force centrifuge qui les fait tomber. http://www.youtube.com/watch?v=4ulEzDY2vws Même expérience avec les deux cylindres, mais avec un petit complément : nous avons mis un petit fil de cuivre au pied des cylindres, comme une petite barrière, pour les empêcher d’être emportés par la force centrifuge : les cylindres restent en place malgré la vitesse… http://www.youtube.com/watch?v=vF8nFE4DsoA ***** Même expérience pour finir, avec cette vidéo d’un engin qui tourne sur manège, poussé (ou tiré) par la seule force électrostatique fournie par notre Machine de Wimshurst. Lorsque les professionnels auront pris les choses en main, l’engin sera plus gros et il tournera plus vite, mais le principe sera le même ! http://www.youtube.com/watch?v=x-tqV-Q9XMA ***** Très chers amis, à bientôt. Amitiés à tous. Le groupe MRJAEJ. (Dernière édition le 17 mars 2010 16:00) _________________ Il faudra considérer les courants électriques ... comme un mouvement de masses électriques vraies ... (Einstein 1899 lettre à Mileva) |
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MRJAEJ
Inscrit le 19/10/2009 |
# 17 mars 2010 11:13 | |
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(Dernière édition le 17 mars 2010 11:18) _________________ Il faudra considérer les courants électriques ... comme un mouvement de masses électriques vraies ... (Einstein 1899 lettre à Mileva) |
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MRJAEJ
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# 23 mars 2010 17:50 | |
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***** Chers amis, Bonjour ! Comme vous avez pu le voir sur les vidéos qui vous ont été présentées au cours du message précédent, nos maquettes d’engins tournent très bien. La force d’une machine de Wimshurst n’est pas foudroyante, et c’est tant mieux pour nous, mais elle suffit amplement pour effectuer les démonstrations courantes : nous n’en demandons pas davantage. Voici un ensemble d’illustrations où vous pourrez voir ou revoir les possibilités d’expérimenter sur l’électrostatique. Cliquez sur les indications (gauche et droite) pour changer d’illustration et de commentaire : http://physics.kenyon.edu/EarlyApparatu ... icity.html ***** Durant toutes ces années de recherche, nous avons été préoccupés par la faiblesse de la Machine de Wimshurst, et les nombreux essais d’amélioration que nous avons tentés se sont tous révélés parfaitement inutiles. Le choix que nous venons de faire, confier les vrais engins à des propulseurs bâtis sur l’électricité du secteur, nous a libérés de ce problème. Nous allons pouvoir nous consacrer à la mise au point de ces engins, dont voici une maquette : http://lapropulsionelectrique.neuf.fr/P ... 0_0324.jpg *****Le moins qu’on puisse dire, c’est que la maquette n’est pas très esthétique, mais c’est sans importance. La photo vous montre donc l’engin tel qu’il est : 1/ l’Arrière, qui est fait d’un cylindre fermé aux deux bouts par un dôme, le tout métallisé : l’électricité négative (qui arrive par le fil bleu) reste en surface. 2/ l’Avant qui est un bouquet (ou une araignée) de fils métalliques coupés, dont les pointes sont tournées vers l’Arrière. Ce bouquet est tenu en place par le fil rouge qui lui apporte l’électricité positive. Vous envoyez l’électricité (haute tension) dans ce montage, et ça tourne ! http://www.youtube.com/watch?=sXaaKPu8cL0 http://www.youtube.com/watch?v=yNSPYcELEGM ***** Nous avons construit ce montage par tâtonnements successifs, éliminant ce qui ne marchait pas et favorisant ce qui nous paraissait le plus indiqué pour la propulsion. Le plus surprenant, dans cette manœuvre, c’est que nous ayons eu à le construire, donc à l’imaginer, ce qui signifie que ce problème de propulsion ne semble pas avoir taquiné l’imagination des électriciens d’autrefois. Nous signalons cependant que notre site fait une place importante à notre précurseur-surprise, au chapitre 8 : http://lapropulsionelectrique.neuf.fr/img/page25.gif ***** Si vous ne connaissez pas, lisez, il est assez intéressant de voir combien il s’est dépensé pour sa recherche. Nous avons été frappés en particulier par le fait qu’il était arrivé, comme nous, à une recherche sur manège. Voici le dessin qu’il en a laissé. Vous pouvez lire dans notre site que l’erreur commise, à notre avis, fut de croire qu’il pouvait expérimenter sur des tensions élevées et dangereuses. Voici son manège : http://lapropulsionelectrique.neuf.fr/img/page26.gif *****Au début de notre recherche, nous ne connaissions pas internet. Notre source, disons, officielle, était le volume sur l’électrostatique de P. Fleury et J.P.Mathieu, éditions Eyrolles -1967 : ce volume ne contient rien sur une propulsion éventuelle. Nous pouvons faire la même remarque à propos d’une brochure que nous avions de Noël Félici. Même sur internet, la seule illustration qui pourrait se rapprocher de notre recherche se trouve 5 lignes avant la fin du premier paragraphe (my machines) du site immense et généreux des Machines électrostatiques de Antonio de Quieroz,. Cela s’appelle electrostatique Orrery : nous vous donnons le lien du site, vous cliquez sur Orrery, vous admirez le travail, puis vous revenez sur le site et vous cliquez en bout de ligne où on vous offre une video ! http://www.coe.ufrj.br/~acmq/electrostatic.html ***** C’est un des rares points d’Internet où nous ayons trouvé des modèles de volumes que l’électricité propulse dans l’espace. Il s’agit ici d’illustrations du vent électrique, un sujet que nous allons très bientôt aborder. Merci pour votre attention et à bientôt. Le groupe MRJAEJ. copier/coller impossible ? (Dernière édition le 23 mars 2010 18:00) _________________ Il faudra considérer les courants électriques ... comme un mouvement de masses électriques vraies ... (Einstein 1899 lettre à Mileva) |
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MRJAEJ
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# 24 mars 2010 10:09 | |
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***** Chers amis Bonjour ! Nous voudrions, par ce bref message, remercier et rassurer les amis qui nous hébergent. Qu’ils en soient certains, nous contrôlons ce que nous écrivons et nous citons nos sources. Nous avons relu les conditions générales : tout ce que nous écrivons est destiné au public. ***** Nous connaissons certains sites et certaines interprétations, antigravité et autres, et nous les refusons. Thomas Townsend Brown est un précurseur en ce sens qu’il a cherché dans le même domaine que nous, mais nous affirmons que ce fut sans rien trouver qui puisse nous aider dans notre propre recherche. *****Les seules preuves que nous recherchons sont des faits publics et reconnus, comme, par exemple, le fait que c’est l’électricité qui propulse, d’une manière ou d’une autre, les boules métalliques de la vidéo citée en fin du précédent message. Parmi ces faits, nous privilégions naturellement les vidéos que nous avons nous-mêmes enregistrées dans notre atelier : nous garantissons le fait lui-même, mais l’interprétation reste discutable. ***** Enfin, dernière remarque, les messages sont destinés à éclairer certains points de notre recherche, après quoi nous nous retirerons, considérant notre part de travail comme terminée et laissant à d’autres le soin de poursuivre. ***** Merci à vous tous, pour la compréhension. Le groupe MRJAEJ. _________________ Il faudra considérer les courants électriques ... comme un mouvement de masses électriques vraies ... (Einstein 1899 lettre à Mileva) |
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MRJAEJ
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# 27 mars 2010 15:43 | |
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***** Chers amis, bonjour ! Le présent message est consacré au vent électrique. Au début de notre présence sur Internet, on a voulu nous imposer ce vent comme explication de ce que nous appelions une propulsion électrique. Pour nous, la propulsion venait d’une réaction électrique entre l’Avant, chargé d’électricité positive, et l’Arrière, chargé d’électricité négative. Pour nos contradicteurs, il s’agissait de vent électrique. Voici ce que nous appelons réaction électrique : faut-il y voir un effet du vent électrique ? http://www.youtube.com/watch?v=oYOlRPn7N1Q **** Nous devons le dire, nous n’avons pas su répondre à nos contradicteurs. Nous avons inutilement multiplié les démonstrations pour prouver qu’il n’y avait pas de vent. La réponse était pourtant facile et tous les textes vous le diront, le tourniquet électrique, source et témoin du vent électrique, est branché sur une seule sortie de la génératrice, l’autre sortie étant impérativement mise à la terre ! Voyez tout cela écrit noir sur blanc sur le site de Antonio de Quieroz, à la même ligne que lors du précédent message : repérez les mots électrique orrery et cliquez sur this site, juste avant la vidéo : http://www.coe.ufrj.br/~acmq/electrostatic.html ***** Ainsi, le vent électrique exige que le deuxième pôle de la génératrice soit mis à la terre… Nous avons évidemment fait les diverses expériences. L’Arrière de notre engin (muni d’un fil de fuite métallique) étant branché sur la sortie négative de notre Machine de Wimshurst, nous avons d’abord débranché le fil rouge qui amène l’électricité positive aux pointes de l’Avant, la sortie positive de la génératrice restant vide. Résultat : l’engin tourne à peine (un tour en 2 minutes !). Nous mettons alors la sortie positive de la génératrice à la terre. Résultat : l’engin tourne alors beaucoup plus facilement (6 tours en 1 minute). Il semble que le fait d’éliminer l’électricité positive, en la mettant à la terre, favorise l’action de l’électricité négative, seule responsable du vent électrique : http://fr.wikipedia.org/wiki/vent_ionique ***** Ce vent électrique, nous le connaissions depuis le début : il est à l’origine de notre recherche. Devant les résultats que nous venons de rappeler, il est en effet une question naturelle, inévitable, qui se pose normalement à tout chercheur : quelle serait le résultat de l’expérience si, au lieu de mettre cette électricité positive à la terre, nous la mettions devant l’engin de façon à créer un champ qui attirerait l’engin ? La réponse à cette question inévitable, résume toute notre recherche : vous créez un champ positif à l’avant de l’engin et tout se met à tourner admirablement ! http://www.youtube.com/watch?v=4ulEzDY2vws ***** Il nous reste maintenant une question à poser : comment se fait-il que personne avant nous n’ait pensé à créer ce champ à l’avant de l’engin ? Pour nous, ce n’est pas possible ! Mais alors, comment se fait-il que l’histoire de l’électrostatique n’en ait pas gardé le moindre souvenir ? Nous laisserons ces questions sans réponse. L’essentiel est que nos engins tournent. Le prochain (et avant-dernier) message vous précisera (sur vidéos) comment nous les voyons tourner. Merci pour votre attention. A très bientôt. Le groupe MRJAEJ. (Dernière édition le 27 mars 2010 17:06) _________________ Il faudra considérer les courants électriques ... comme un mouvement de masses électriques vraies ... (Einstein 1899 lettre à Mileva) |
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MRJAEJ
Inscrit le 19/10/2009 |
# 30 mars 2010 11:04 | |
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*****Chers amis, Bonjour ! Ceci est l’avant-dernier de nos messages. Le sujet en est simple : nous allons vous expliquer, sur vidéos, comment, à notre avis, la propulsion électrique ou électrostatique fait tourner les engins sur notre manège. Mais avant de faire l’analyse de cette propulsion, il convient de rappeler le montage électrique qui la fonde. Voici donc très rapidement : nous avons une génératrice (une Machine de Wimshurst) qui produit de l’électricité statique (Haute Tension) avec deux sorties, positive et négative. L’électricité positive est branchée sur les pointes de l’Avant de l’engin. L’électricité négative est branchée sur les surfaces de l’Arrière de l’engin (couronne et gros cylindre). Il faut aussi rappeler que l’engin est monté sur le manège, et que c’est l’engin qui fait tourner le manège… Voilà, c’est tout. Vous mettez le contact et çà tourne : http://www.youtube.com/watch?v=x-tqV-Q9XMA ***** Voilà, çà tourne…bien, à notre avis. Pour les vidéos que nous allons vous présenter, ne vous attendez pas à du neuf : nous allons vous représenter, disons une énième nouvelle fois, les plus lisibles. Accessoires de la démonstration : d’abord, des rubans fixés au plafond ; puis de la fumée ; enfin deux petits cylindres posés à l’intérieur et à l’extérieur de l’engin. ***** Démonstration n° 1 : un engin qui tourne lentement en frôlant une suite de rubans fixés au plafond. *****Première réaction remarquable : lorsque les pointes de l’Avant, qui sont couvertes d’électricité positive, touchent un ruban le contact remplit aussitôt le ruban d’électricité positive. Le ruban est alors repoussé (sur la gauche) loin du champ électrique positif qui entoure les pointes de l’Avant. http://www.youtube.com/watch?v=n-UEa8BSsAk ***** Deuxième réaction remarquable : l’engin continuant à avancer, la couronne de l’Arrière, qui est couverte d’électricité négative, se trouve bientôt en face du ruban qui a été repoussé par les pointes (et qui est plein d’électricité positive). La couronne attire donc le ruban qui se colle sur la couronne. http://www.youtube.com/watch?v=8k9K3gUZz_A ***** Troisième réaction : le ruban se charge alors d’électricité négative. Cette charge est plus longue que celle des pointes, parce que l’électricité est moins concentrée sur les surfaces que sur les pointes. Lorsque la charge est terminée, le ruban se décolle et revient à sa place (suspendu au plafond). Il faut remarquer qu’il ne subit jamais de ventilation : c’est l’engin qui l’emmène sur la gauche, et c’est son propre poids qui le remet à la verticale. Toutes ces réactions sont à peine esquissées, lorsque l’engin tourne vite : http://www.youtube.com/watch?v=oYOlRPn7N1Q ***** Autre source de démonstration : la fumée. Nous avons enregistré beaucoup de démonstrations avec fumée… Il faut reconnaître qu’elles se ressemblent toutes. Celle que nous vous représentons a le mérite d’être complète. Nous retrouvons avec la fumée les réactions que nous avons signalées pour les rubans. La réaction de propulsion débute au moment où les pointes touchent la fumée. Il y a alors répulsion de la fumée, puis attirance par la couronne et par le cylindre. Enfin, la sortie de l’engin de l’espace enfumé est franche et nette. http://www.youtube.com/watch?v=R02rJY5VJ4M *****C’est la sortie nette de l’engin, lorsqu’il quitte la fumée, qui est pour nous l’indice le plus significatif. Cette sortie nette prouve que la réaction électrique de propulsion se termine à l’extrémité même de l’engin : il n’y a pas de traînée … L’engin sort de la fumée comme il y est entré. Il semble que le volume de l’engin électrifié soit à part … ***** Nous retrouvons cette impression d’une réalité à part avec l’expérience des cylindres : Nous posons, appuyés contre une petite barrière métallique de 1 cm de haut, deux petits cylindres métalliques, l’un sur le gros cylindre, l’autre au sommet de la couronne. : ils y restent collés, malgré la vitesse, collés par le champ électrique qui remplit le volume. Lorsqu’ils tombent enfin, à la fin de la deuxième vidéo, c’est la force centrifuge qui les fait basculer ! http://www.youtube.com/watch?v=vF8nFE4DsoA http://www.youtube.com/watch?v=4ulEzDY2vws ***** Merci beaucoup, chers amis, pour votre attention. Dans le prochain, et dernier, message, nous vous préciserons la théorie de cette propulsion. A très bientôt. Le groupe MRJAEJ. _________________ Il faudra considérer les courants électriques ... comme un mouvement de masses électriques vraies ... (Einstein 1899 lettre à Mileva) |
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MRJAEJ
Inscrit le 19/10/2009 |
# 4 avril 2010 16:46 | |
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Dernier message *****Chers amis, Bonjour ! Ceci est le dernier message du groupe MRJAEJ. Nous remercions les amis de la technique de ce forum qui ont eu très souvent à rattraper nos maladresses. Nous remercions les amis qui nous ont lu et particulièrement les amis qui nous ont répondu, dans les débuts. A tous un grand Merci ! *****Ce dernier message va traiter de la théorie. Il sera sans doute un peu plus long que d’habitude. Veuillez nous en excuser… Lorsque nous avons débarqué chez vous, le 9 juillet 2008, nous ne savions pas comment ni pourquoi nos engins tournaient. Nous avons fait des progrès, en partie grâce à vous, et nous pensons pouvoir dire que, maintenant, nous le savons, et nous voudrions vous en faire part. Ce dernier message vous est adressé dans cette intention. Il ne vous présentera pas de vidéo. Voici le lien qui vous ouvre notre site et nos vidéos, au cas où vous voudriez revoir une démonstration : http://lapropulsionelectrique.neuf.fr/ *****Nos engins tournent et vous aimeriez savoir comment. Nous allons vous le dire le plus simplement possible. Les engins sont branchés sur une génératrice électrostatique qui débite du courant continu haute tension et c’est ce courant qui propulse nos engins. Nos engins sont donc des moteurs à réaction électriques. Les mots –à réaction- supposent que les engins projettent quelque chose à l’arrière, ce qui risque de soulever des difficultés … Le mot –électriques- ne pose par contre aucun problème et nous aurons à choisir parmi les solutions proposées par Google : http://fr.wikipedia.org/wiki/Propulsion ... lectrique_(spatial) *****C’est regrettable : aucune des solutions proposées ne convient à nos engins : tous les moteurs proposés embarquent le quelque chose qui doit être projeté à l’arrière pour faire avancer l’engin. Nous n’avons jamais rien prévu de tel dans nos démonstrations ! La solution la plus proche de nous est le moteur ionique, mais il embarque lui aussi ce qu’il va projeter. La réaction du moteur ionique est une réaction de masse ; la réaction de nos engins est pure réaction électrique : la prétendue masse qui est éjectée est la masse ( ?) qui porte les charges électriques et l’éjection n’est absolument pas décelable. http://fr.wikipedia.org/wiki/Moteur_ionique *****Il faut dire que nos engins ne projettent à l’arrière rien qui soit visible, ou tangible, et c’est tout le problème … Ce sont des moteurs électriques, mais comment peuvent-ils propulser sans rien projeter à l’arrière ? Nos engins ont une poussée très faible, mais cela ne justifie pas qu’ils ne projettent rien à l’arrière. Ils sont de ces moteurs qui peuvent pousser très longtemps et atteindre ainsi de très grandes vitesses justement parce que ce qu’ils projettent à l’arrière est une masse ( ?) très faible… L’ennui avec ces moteurs qui éjectent des masses très faibles, c’est que le décollage n’en finit plus… C’est le cas de notre moteur ! http://fr.wikipedia.org/wiki/Moteur_%C3 ... 3%A9action *****Nos engins ne rentrent donc dans aucune catégorie et nous avons dû chercher longtemps pour trouver enfin ce que nous considérons comme la solution. Le début de la solution est venu d’une bonne question posée au bon endroit, et sans doute au bon moment : <à quoi servent les pointes ? > Vous allez retrouver cette question au chapitre 10 de notre site : les pointes ne peuvent que disperser les charges positives de l’Avant face aux charges négatives qui couvrent les surfaces de l’Arrière : http://lapropulsionelectrique.neuf.fr/chap10.html *****Le reste est venu de nos lectures. Nous avons trouvé la réponse à la question dans le 2ème volume des œuvres choisies de Einstein, par le CNRS, à la page 65 : <Considérons, nous dit Einstein, un système de n points matériels discrets… Du point de vue électrique … Ces masses peuvent agir entre elles … par des processus électromagnétiques …> Ce n’est pas la description exacte de nos engins, évidemment, mais il s’agit d’une réaction électrique entre des masses de polarité différente, deux champs électriques de polarité opposée, à qui Einstein attribue une puissance inattendue qui se résume dans la formule célèbre : E=mc2. Nous vous donnons sans attendre le lien qui vous ouvrira des horizons insoupçonnés : http://en.wikipedia.org/wiki/Mass%E2%80 ... quivalence *****Il s’agit d’un texte énorme et touffu, un texte qu’il convient de lire par morceaux pour ne pas être noyés. C’est une ouverture sur la relativité restreinte. Il contient en particulier la solution à la question posée par le fait que nos engins n’éjectent rien à l’arrière : la question de masse n’est pas aussi simple qu’on le croit. On nous parle ainsi de rayonnement électrique ou de rayonnement gravitationnel : la masse éjectée, si l’on peut parler de masse, se réduit à presque rien, mais ce presque rien multiplié par le carré de la vitesse de la lumière finit par donner des chiffres impressionnants. Voyez un autre lien aussi riche sur la masse : http://en.wikipedia.org/wiki/Mass_in_special_relativity *****La question de la masse d’un système électromagnétique, par exemple, a été un sujet de controverse au temps où Einstein et d’autres, parmi les plus grands, essayaient d’éclairer la question du rayonnement, calorifique, gravitationnel, électrique, etc… On a beaucoup parlé alors des dimensions longitudinales ou transversales des particules ou des atomes, comme le photon ou l’électron. La masse de l’électron occupe de nombreuses pages dans le volume du CNRS que nous avons cité. Voici un dernier lien sur ce sujet, sur la masse du photon précisément, après quoi nous passerons à des notions plus familières : http://math.ucr.edu/home/baez/physics/P ... _mass.html *****Nous retiendrons de ces incursions que la question de masse des particules n’est pas aussi nette qu’on le croit. Pour ce qui nous concerne, en particulier, nous voyons les résultats dans la pratique : nos engins tournent et nous ne parlons plus de vent électrique, mais de réaction électrique entre deux champs de polarité opposée. Nos engins sont des moteurs électriques à réaction. On peut expliquer cela comme on voudra. Pour nous, le rayonnement, si l’on veut employer ce mot, éjecte de la masse…, une très faible quantité de masse qui est éjectée à une vitesse incroyable, et tout cela tourne admirablement ! ***** Nous n’ajouterons rien de plus, aucune théorie ne pourra remplacer la pratique, la vision directe du phénomène. C’est sur cette évidence et cette simplicité des faits que nous comptons pour convaincre d’éventuels amateurs, bien plus que sur les théories. C’est pour cela que nous avons, tout au long de nos interventions, insisté sur la pratique. Il y aura bien un jour quelqu’un qui dira : cela vaudrait peut-être la peine d’essayer… Pour nous, nous avons fait une très grande part du chemin. C’est maintenant à vous de poursuivre. N’hésitez pas, tout est à vous, tout est à prendre. Le groupe MRJAEJ vous souhaite Bonne Route. Ce fut un vrai plaisir … Fin du dernier message, le 4 avril 2010. _________________ Il faudra considérer les courants électriques ... comme un mouvement de masses électriques vraies ... (Einstein 1899 lettre à Mileva) |
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