le programme agathe

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bleriot
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# 12 août 2008 14:14
Pas tout à fait, mais un retour vers la passion car pour avoir fait de l'instruction bénévolement je me suis vite aperçu que mes élèves n'étaient que poussés par une vision de l'aviation , par son coté "branché" ou son coté avenir bien rémunéré de pilote de ligne.
Il éxiste toutefois une minorité de jeunes passionnés qui ne sont absolument pas rebutés par les sacrifices et qui travaillent "en grandes surfaces" pour se payer quelques heures de vols, voir qui se lancent dans la construction amateur afin d'assurer l'avenir à cout abordable.
J'ai un exemple d'un jeune menuisier qui s'est construit un "bois et toile" en 6 mois, il est vrai qu'il n'avait ni "cabin case" ni Ray ban et encore moins de blouson "Top Gun".
En limitant le portable, les soirées branchées ,le tabac, l'alcool on trouve les ressources pour faire ce minimum d'heures de vol.
Pour les passionnés hésitants je leur suggère d'aller grenoullier en aéro-club le plus souvent possible et ils trouveront toujours un pilote ayant une place de libre à bord en attendant d'avoir les moyens financiers.
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eolien
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Inscrit le 30/01/2008
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# 12 août 2008 15:39
Bonjour Bleriot,
j'aime bien votre analyse.
J'ai les deux. Des gamins "friqués" que les parents nous "collent" et qui n'en ont rien à faire de l'aviation, et des gamins passionnés dont les parents se saignent pour leurs payer les heures.

Bonne journée,
Eolien777
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Alexis02
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Inscrit le 16/07/2007
483 messages postés

# 12 août 2008 18:41
J'approuve aussi l'analyse de blériot, souvent, des jeunes se font une idée de l'aviation, ils ne parlent que d'avions de ligne et de chasse, en oubliant tout le reste, car ce sont les seules "filières" offrants un métier, et qui soit disant en jettent, impressionnent. En ce qui me concerne, je vais peut-être (fonction de mes moyens) débuter cette année des cours de pilotage en aéroclub, just for fun (comme dans la pub de Fournier), sur planeur, en attendant, j'ai déjà rencontré des pilotes, fait un circuit de piste en Rallye je pratique bien sûr le spotting et je m'achète un Aviasport de temps en temps. Dans ma classe de terminale, j'avais une fille qui avait la chance d'être la fille du vice président d'un aéroclub et qui donc pilotait un DR400 sans payer de sa poche, mais je n'ai pas réussit à détecter sa passion, rien: portable, copains, copines mais pas d'aviation.
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vonrichthoffen
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896 messages postés

# 13 août 2008 01:31
ETOPS a écrit :
eolien777 a écrit :On en revient toujours au même problème : les sous !
Parce que avec un petit budget, c'est très dur de faire 20 hrs...
Un petit retour à l' Aviation Populaire ? tongue
Il y avait un réel besoin de pilotes à l'époque. Ceci dit, l'activité mériterait d'être subventionnée au delà du BIA, ça pourrait donner un coup de boost à un secteur en déclin.
Il ne faut pas sous estimer l'impact d'une aviation, disons popularisée au niveau de son accès, sur l'ensemble de la société. Un quidam qui met un pied dans ce monde là aquiert tout de suite une autre vision de la gestion ainsi que de la prévention des risques.
Il ne faut pas oublier non plus le planeur dans la formation, c'est toujours un plus pour un pilote privé que d'en avoir fait. Ce serait facile de subventionner quelques heures par an ou un stage de vol à voile par an, de manière à ce qu'un pilote privé intéressé puisse se le payer à vil prix..
A suivre.

(Message édité par vonrichthoffen le 13/08/2008 01h31)
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eolien
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Inscrit le 30/01/2008
6 996 messages postés

# 13 août 2008 08:37
Bonjour Vonrichthoffen,

Je n'y crois pas. C'est un rêve. L'état n'a pas un sous et trop de dettes.

Dans mon club, on vient de faire la visite des 200 hrs à un DR 400.

Avant, on la faisait nous même. Aucun problème.
Maintenant il faut aller dans un atelier agréé.

J'ai pas vu la facture, mais à mon avis ça devrait tourner autour de 5 ou 600 €.
Plus le convoyage pour aller pour emmener l'avion, puis le retour qqs jours plus tard...
Plus le manque à gagner pendant les 2 ou 3 jours d'immobilisation...

On est mal barrés !

Bien cordialement,
Eolien777
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vonrichthoffen
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Inscrit le 07/08/2006
896 messages postés

# 13 août 2008 11:55
L'état est une vaste entité. Les chambres de commerce, les conseils généraux, Jeunesse et Sports... (et j'en oublie) pourraient cracher au bassinet.
Il y a là encore un calcul à faire : l'aviation légère est plus qu'une pratique de loisir dans le cadre d'une association type loi de 1901, il y a un secteur industriel en amont, faut-il le laisser péricliter ou est-ce que ça vaut le coup de subventionner l'activité (ou de l'exonérer de ci ou de ça)?

A l'époque en Allemagne, les avions de club ainsi que les planeurs se baladaient tous avec une pub sur l'intrados et le fuselage (pub pour de la bibine en général, il faudrait trouver autre chose chez nous), ça couvrait, par exemple pour les planeurs, le budget carburant du treuil et de son camion.

Il y aurait peut-être aussi du lobbying à faire à Bruxelles (si l'état est défaillant), aux clubs de se grouper et de déléguer des gens qui sauront se faire entendre (le genre retraité qui dort pas beaucoup, vous voyez ?).
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etops
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Inscrit le 28/04/2008
525 messages postés

# 13 août 2008 14:21
vonrichthoffen a écrit :de déléguer des gens qui sauront se faire entendre (le genre retraité qui dort pas beaucoup, vous voyez ?).
j' aime cet humour tongue

c'est vrai que l' état , à mon avis sans renfort de grosses sommes, devrait reprendre conscience de l' intérêt de l' aviation légère , mais l'hyper règlementation risque de tuer toute nouvelle initiative publique ou privée .

dommage !
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vonrichthoffen
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Inscrit le 07/08/2006
896 messages postés

# 15 août 2008 00:39
Ca induit une question légitime: que fait la FFA sur des dossiers comme ça (et ce n'est pas le seul qu'il faudrait aller plaider à Bruxelles) ?
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StephaneAero
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Inscrit le 20/06/2008
49 messages postés

# 21 août 2008 12:12
eolien777 a écrit :On en revient toujours au même problème : les sous !
Parce que avec un petit budget, c'est très dur de faire 20 hrs...
Absolument et je trouve qu'on ne parle pas assez du lien étroit entre coût de l'heure de vol et sécurité par deux relations antinomiques :
- hdv moins onéreuses => plus d'hdv => plus de sécurité
- plus d'éléments de sécurité => hdv plus onéreuses
D'où finalement une question : quel est l'impact réel d'une augmentation des hdv ? La mesure a-t-elle déjà éét faire (je suppose que oui)

Ceci étant, en train de terminer une formation PPL, j'ai de gros gros doutes sur ma capacité à réagir en toute sécurité dans un nuage, alors un parachute, pourquoi pas. J'ai l'impression de pouvoir plus tirer des nombreuses heures de Flight Simulator que de l'instruction réelle dans ce domaine... (sur FS, de toute façon, on ne voit rien, on ne sent rien...).

Quant à la situation d'une météo dégradée, je pense que la meilleure garantie est... la préparation : c'est à dire, non pas mieux lire les cartes météo mais, dans le cas du moindre doute, partir avec l'idée préétablie qu'il faudra potentiellement s'arrêter. Donc, se mettre dans une situation psychologique où la décision sera facile à prendre car pré évaluée : quelles sont les conséquences réelles d'un arrêt volontaire (retour en TGV à 23h au lieu d'un retour à 19h, phone au président du club, donc je n'oublie pas ma carte bleue, mon phone et le téléphone du club).

Tout dépend de l'instructeur, mais pour ma part, cet aspect psychologique n'a pas fait l'objet d'une réflexion au sol avec mon FI. Il m'est bien arrivé de renoncer une fois à une nav en plein vol (visi à 3 km, je commençais à me perdre à 30 km de l'aérodrome : "bon, on rentre, je ne le sens pas") mais j'ai l'impression que c'est une occasion fortuite qui a donné lieu à cette expérience (qui est, ô combien, profitable).
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nago
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Inscrit le 07/01/2007
5 500 messages postés

# 21 août 2008 12:19
StephaneAero a écrit :
eolien777 a écrit :On en revient toujours au même problème : les sous !
Parce que avec un petit budget, c'est très dur de faire 20 hrs...
Absolument et je trouve qu'on ne parle pas assez du lien étroit entre coût de l'heure de vol et sécurité par deux relations antinomiques :
- hdv moins onéreuses => plus d'hdv => plus de sécurité
- plus d'éléments de sécurité => hdv plus onéreuses
D'où finalement une question : quel est l'impact réel d'une augmentation des hdv ? La mesure a-t-elle déjà éét faire (je suppose que oui)

Ceci étant, en train de terminer une formation PPL, j'ai de gros gros doutes sur ma capacité à réagir en toute sécurité dans un nuage, alors un parachute, pourquoi pas. J'ai l'impression de pouvoir plus tirer des nombreuses heures de Flight Simulator que de l'instruction réelle dans ce domaine... (sur FS, de toute façon, on ne voit rien, on ne sent rien...).

Quant à la situation d'une météo dégradée, je pense que la meilleure garantie est... la préparation : c'est à dire, non pas mieux lire les cartes météo mais, dans le cas du moindre doute, partir avec l'idée préétablie qu'il faudra potentiellement s'arrêter. Donc, se mettre dans une situation psychologique où la décision sera facile à prendre car pré évaluée : quelles sont les conséquences réelles d'un arrêt volontaire (retour en TGV à 23h au lieu d'un retour à 19h, phone au président du club, donc je n'oublie pas ma carte bleue, mon phone et le téléphone du club).

Tout dépend de l'instructeur, mais pour ma part, cet aspect psychologique n'a pas fait l'objet d'une réflexion au sol avec mon FI. Il m'est bien arrivé de renoncer une fois à une nav en plein vol (visi à 3 km, je commençais à me perdre à 30 km de l'aérodrome : "bon, on rentre, je ne le sens pas") mais j'ai l'impression que c'est une occasion fortuite qui a donné lieu à cette expérience (qui est, ô combien, profitable).
(Message édité par nago le 21/08/2008 12h58)

(Message édité par nago le 21/08/2008 13h01)
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StephaneAero
Membre

Inscrit le 20/06/2008
49 messages postés

# 21 août 2008 12:26
ETOPS a écrit :c'est vrai que l' état , à mon avis sans renfort de grosses sommes, devrait reprendre conscience de l' intérêt de l' aviation légère , mais l'hyper règlementation risque de tuer toute nouvelle initiative publique
L'Etat ne devrait pas donner de l'argent pour aider à faire perdurer une mauvaise situation, ce n'est pas ce qu'on devrait attendre d'un Etat.

L'aviation légère n'a pas progressée depuis 40 ans avec des moteurs antédiluviens, des profils d'aile inchangés, des hélices identiques, etc... La crise du pétrole (et financière qui arrive à grands pas) est une chance inouïe de faire avancer l'aviation. Donc, une bonne dépense, serait un investissement dans la R&D pour faire avancer ces domaines.
Et si la solution se trouve dans les ULM ou les planeurs... faisons de l'ULM ou du planeur...
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nago
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Inscrit le 07/01/2007
5 500 messages postés

# 21 août 2008 12:57
Deux remarques:

1° Pour savoir piloter, il faut voler, voler, et encore voler.

Se contenter du minimum annuel et prétendre être pilote, ce n'est pas sérieux. Il faut avoir la modestie de dire être titulaire de la licence et de manquer d'expérience.

2° En train de terminer ta formation PPL, tu dis avoir des doutes quant à ta capacité à voler dans les nuages.

Jamais, jamais, au grand jamais on ne vole dans un nuage sans formation et licence IFR. On ne s'approche même pas d'un nuage qu'il soit à gauche, à droite, dessus ou dessous de toi.

Avec ou sans parachute, ta survie dépend de tes capacités à gérer le vol et ton avion.

Au volant de ta voiture, tu ne fonces pas tête baissée dans le brouillard sous prétexte que tu as des airbags!

Prudence doit rester le maître mot et se rappeler la définition du Larousse:

<Attitude qui consiste à peser à l'avance tous ses actes, à apercevoir les dangers qu'ils comportent et à agir de manière à éviter tout danger, toute erreur, tout risque inutile>

CQFD

Bons vols quand même!
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StephaneAero
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49 messages postés

# 21 août 2008 13:41
nago a écrit :2° En train de terminer ta formation PPL, tu dis avoir des doutes quant à ta capacité à voler dans les nuages.
Jamais, jamais, au grand jamais on ne vole dans un nuage sans formation et licence IFR.
J'en avais pas l'intention !!! grin
Je disais simplement : j'ai de gros doutes quant à ma capacité d'accomplir, sous stress important, un 180 sans visibilité pour sortir d'une situation ou jamais, au grand jamais, je n'aurais du me mettre et qui, du coup, ne m'arrivera pas.

Voilà, maintenant, certains pilotes PPL se retrouvent involontairement dans les nuages alors qu'ils n'auraient pas du... sad Il se trouve que ça arrive...

Une formation au PSV un peu plus aboutie serait certainement intéressante ou un &quot;IFR privé light&quot;. Peut-être pas au programme VFR mais comme perfectionnement. Si j'ai bien compris, l'IFR est quasi hors de portée dans une démarche non-pro.

Bon, j'arrête là, ma trop faible exp ne fait pas avancer le débat.
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bleriot
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53 messages postés

# 21 août 2008 21:47
Pas d'accord tout à fait, c'est vrai qu'il n'est pas souhaitable de passer dans les nuages sans entrainement, mais je crois souhaitable qu'un PPL soit capable d'éffectuer un 180° aux instruments car l'expérience prouve que l'on peut se trouver dans ces conditions sans l'avoir cherché, habitant près des cotes et coutumier des brumes de mer qui peuvent arriver en quelques minutes, je pense qu'un minimum d'entrainement aux instruments est un complément que peu d'instructeurs refuseront.
Il est surement préférable de passer quelques secondes en IMC à plus de 1000ft que de rester sous la couche au raz du sol, tout en restant très modeste face aux éléments.
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eolien
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# 22 août 2008 00:42
Bonsoir,

voilà un thème intéressant, et qui m'intéresse parce que je l'aborde régulièrement dans mon aéro-club. Je devrais dire: je le plaide... sans grand succès...

Nago a raison quand il dit de ne jamais se retrouver en IMC en VFR.
StephanAero a raison quand il dit que malheureusement cela arrive.
Bleriot touche du doigt la réalité...

Sans perdre de vue le coeur de ce topic qui est l'éventuelle installation d'un parachute destiné à sauver l'avion et ses passagers, on peut raisonner sur la formation au vol aux instruments dans le cadre du PPL, ou en maintien des compétences pour les pilotes déjà titulaires du PPL.

A mon sens, ce n'est pas un problème technique. mais un facteur financier et un facteur psychologique.

Il faut se rnedre à l'évidence. Les pilotes volent relativement peu (argent, disponiilité, engouement...). Il faut donc faire avec.

Considérons le facteur économique. Le pilote qui vole peu, souvent autour du minimum règlementaire n'a aucune envie de dépenser une partie de son budget à l'apprentissage ou à l'entrainement au vol aux instruments. Il vole peu, par beau temps et cet aspect des choses lui est très éloigné. Son opinion est faite, ce n'est pas nécessaire, ce n'est pas pour lui. Ce serait du gaspillage.

Considérons à présent le cas du pilote qui vole régulièrement, n'hésitant pas à utiliser l'avion pour des voyages liés à son activité professionnelle.
Il est exprimenté, confiant en lui-même comme dans son avion, et convaincu de pouvoir maitriser toutes les situations défavorales si d'aventure elles se présentent en travers de sa route. Il a déjà vécu des situations difficiles et s'en est bien tiré.
Quelle sera sa réaction le jour où, ayant un rendez-vous au terme de son vol, il rencontrera la conjonction de deux évènements : une météo qui se dégrade avec une impériosité de respect de l'horaire...?
C'est l'aspect psychologique : aura-t-il suffisament de recul, alors que déjà pris au piège, pour ne pas entrer dans l'entonoir ?...
C'est une situation très difficile, une décision très difficile, même pour un professionnel.

C'est là que je plaide pour un minimum d'entrainement, réaliste, s'attachant à fournir au pilote une méthode de sauvegarde pour qu'il sache qoui faire, et comment le faire lorsque la situation est devenue catatrophique. Une procédure simple, mais structurée.

je propose :
Monter plein gaz avec l'horizon artificiel, sans chercher à virer tant qu'on a pas une altitude suffisante. Si obligation de virer à cause du relief, une inclinaison faible, autour de 20°.

Lorsque dégagé du sol et du relief, vérifier l'altutude de sécurité du secteur et poursuivre la montée, ailes horizontales, en conséquence de ce relief..

Puis afficher le code de détresse 7700 au transpondeur et contacter la fréquence INFO du secteur, si pas de contact, appeler sur la fréquence de détresse, 121,5.

Dès le contact établi, expliquer sa situation et suivre les instructions, avec, toujours, comme premier souçis, de piloter avec de très faibles variations d'assiette et d'inclinaison.

Ca c'est la théorie.
Et puis il y a la réalité. Même familier du vol aux instruments, le pilote en VFR essaiera toujours de passer par en dessous, et il lui répugnera de couper le fil et de monter en IMC, avec tout son cortège d'emmerdements, car c'est interdit par la loi.

Alors, le parachute ? Chérot ...et à 500 ft dans la crasse, sera-t-il opérationnel ?

Bonne soirée,
Eolien777
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