Pièces détachées
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mouthmouse
Inscrit le 24/02/2006 |
# 13 avril 2006 00:46 | |
| Bonjour j'aimerai savoir ce que deviennent les pièces détachées d'un appareil qui s'est crashé, après l'enquête, et savoir si il est possible de récupérer des pièces détacchées... | ||
 
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Eagle
Inscrit le 12/11/2005 |
# 13 avril 2006 16:34 | |
salut, il doit y avoir des pièces qui peuvent peux être revoler mais aprés une inspection complêtes, mais bon vue le temps que dur une enquêtes aprés un crash  elles restent un bon moment dans un hangar pour expertise de la cause de l'incident.A bientôt |
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piste331
Inscrit le 27/11/2005 |
# 8 octobre 2007 21:56 | |
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il ne jette rien ces indiens mais en tout cas bonne idee New Delhi, un Airbus cloué au sol pour initier les enfants et les plus démunis au voyage en avion LE MONDE | 08.10.07 | 16h39 • Mis à jour le 08.10.07 | 16h39 (New Delhi, correspondance) ahadur Chand Gupta vend les billets d'avion les moins chers du monde. Trois euros pour embarquer à bord d'un Airbus A300. A cela près que l'avion ne décolle jamais. L'appareil ne possède plus ses ailes d'origine, ni son moteur, mais un générateur électrique fait fonctionner climatisation et haut-parleurs. "On lui a greffé une aile raccourcie, ça prend moins de place", explique M. Gupta. Pendant la semaine, l'appareil sert à former les hôtesses de l'air et, le week-end, il accueille des visiteurs qui rêvent de prendre l'avion mais n'en ont pas les moyens ou n'osent pas. "Je voulais apprendre à voyager en avion avant d'acheter un billet", raconte un visiteur, les mains crispées sur les accoudoirs de son siège. Des hôtesses de l'air en uniforme servent des bonbons sur un chariot en bois, lorsque, soudain, interrompant la musique type Bollywood, l'une d'elles prend le micro : "L'appareil va entrer dans une zone de turbulences. Veuillez regagner vos sièges et attacher vos ceintures." Les passagers obtempèrent, les yeux tournés vers le bitume du terrain vague, recouvert d'herbes sauvages. "J'AI VENDU LES AILES" A l'avant de l'appareil, un ingénieur à la retraite répète "cockpit, cockpit" devant des enfants médusés qui tentent d'actionner les boutons dessinés sur des autocollants. La visite se termine par le moment le plus attendu : celui de l'accident. L'hôtesse de l'air reprend le micro : "En cas de problème vous choisissez de vous sauver vous-mêmes ou vos parents ?" "Nos parents !" répond en choeur le groupe scolaire. "Eh bien, dans un avion il faut d'abord penser à vous-mêmes." Un par un, les enfants sont poussés sur un toboggan de secours. Depuis 2004, année de son ouverture au public, l'Airbus A300 qui peut accueillir jusqu'à 110 visiteurs, ne désemplit pas. Alors que de plus en plus d'appareils tournent dans le ciel indien, seul 1 % de la population a déjà utilisé ce mode de transport. "Les habitants du village dont je suis originaire me demandaient toujours si je pouvais les faire monter à bord d'un avion", raconte M. Gupta, ancien ingénieur aéronautique chez Air India. "Puis j'ai eu l'occasion d'acheter cet Airbus qui venait d'avoir un accident. J'ai vendu les ailes et le système électronique embarqué pour réduire les dépenses." La mission est pédagogique, souligne Nirmal Jindal, qui supervise les hôtesses de l'air : "Vu le prix élevé des billets d'avion dans la réalité, beaucoup de voyageurs croient que tout est permis à bord et ne respectent pas le matériel ni les consignes de sécurité. Alors que, à ceux qui viennent ici, nous leur détaillons le prix de chaque fauteuil et de chaque porte pour qu'à l'avenir ils soient précautionneux." Lorsque les visiteurs ont attaché leur ceinture, Mme Jindal en profite aussi pour faire passer des messages sur la prévention contre le sida : "L'avion attire des habitants de régions reculées. C'est l'occasion de leur parler de choses qu'ils n'ont pas l'habitude d'entendre dans leur village." |
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