Nouveau chasseur pour la Suisse
Auteur | Message | |
SINTEX
Inscrit le 18/07/2007 |
# 21 avril 2010 12:32 | |
Contribuable et citoyen doublement baisé par ses gouvernants : 1/ marchés à rentabilité peu évidente, du notamment à la volonté des négociateurs politiques de signer des contrats coute que coute (faut bien faire le malin, et puis, pas de contrats, pas de commissions...), donc qui va payer les pots casser? 2/ solides rétro-commissions qui viennent arroser un joli petit monde politico-mafieux. (Dernière édition le 21 avril 2010 12:33) _________________ Si on doit vivre dans le monde de Philip K DICK, au moins donnez nous les voitures volantes |
||
![]() ![]() |
||
castel
Inscrit le 13/12/2006 |
# 30 avril 2010 08:12 | |
Bonjour, alors une décision d'achat pour 2010 ou 2020? des pronostics? Des nouvelles de Suisse pour le Rafale, l’Eurofighter et le Gripen. Ces derniers jours, la situation a effectivement évolué dans les montagnes helvètes. Pour moderniser une flotte suisse vieillissante, concourent le Rafale de Dassault Aviation, l’Eurofighter Typhoon d’EADS et enfin le Gripen NG fabriqué par Saab. Une lutte qui a pris une tournure médiatique puisque le choix d’un avion moderne est soumis à l’appréciation populaire. Mais c’est aussi un match politique qui se joue en Suisse sur fond de crise économique. La décision quant au futur avion de chasse moderne qui prendra son envole frappé de la cocarde suisse est reporté à l’automne sachant qu’une nouvelle procédure pourrait être adoptée repoussant ainsi les acquisitions à l’horizon de 2020. Un match qui se joue à plusieurs niveaux. Si nous avons l’habitude d’une image de la Suisse pleine de calme, force est de constater que le choix d’un nouvel appareil de combat suscite une lutte intense. Un affrontement qui se joue d’abord auprès de la population locale. Nous vous le disions précédemment, les constructeurs impliqués dans l’appel d’offres rivalisent sur le terrain informationnel pour remporter les suffrages. Le plus agressif d’entre eux étant certainement Saab qui souhaite absolument remplir ses lignes de production après le désistement de l’armée de l’air suédoise. Habitués aux joutes informationnelles, les Suédois affichent leur avion sur différents supports (publicité, expositions, spots télévisés). Chez Dassault on a adopté une attitude plus feutrée mais combative. Les Français ont clairement identifiés que l’élément déterminant serait celui des contreparties industrielles et économiques qu’ils seront capables d’apporter au peuple suisse. Par contre, l’Eurofighter semble clairement en retrait, peut-être concentré sur d’autres contrats tels que le MMRCA indien. D’un point de vue populaire, beaucoup de points restent bancales pour se lancer dans un pronostique fiable. Les Suisses restent échaudés à la fois par les critiques liées à la dernière acquisition de F/A-18 américains. Ainsi, contrairement à ce qui était annoncé, les contreparties liées à la fabrication des avions ne furent pas au rendez-vous. Dans le camp français, il faudra aussi tenir compte de l'affaire des Mirage. Si les avions volent toujours au service de la Suisse, leur acquisition aura aussi soulevée des questions de l'autre côté de la frontière. Pour certains, il s'agit de l'un des principaux scandales politiques suisses du XXème siècle. Elle fut provoquée par un dépassement de budget lors de l'achat des Mirage III par l'armée suisse dans les années 1960. Cette affaire provoquera en 1964 l'institution de la première Commission d'enquête parlementaire de l'Assemblée fédérale suisse. Ses conclusions provoqueront le retrait du Conseiller fédéral Paul Chaudet en 1966. Enfin, les groupements populaires ne manquent pas en Suisse. Le plus virulent sur cette question étant surement le GSsA, le mouvement pour une Suisse sans armée. Si l’association s’était organisée pour porter le plus préjudice à cette acquisition pour cette année, c’est une nouvelle initiative que devra prendre cette dernière à l’horizon 2020. Le but étant d’obliger à une votation populaire annonçant un moratoire de dix ans. Autant dire que dans le cas d’une relance de la procédure, la date de 2020 serait alors difficile à tenir. Des jeux d’influence externes mais aussi internes. Au-delà de l’initiative menée par le GSsA, un lobbying croisé vient compliquer les choses. Outre les actions menées par les avionneurs qui activent au mieux leurs réseaux pour s’imposer, la lutte a aussi lieu en interne. Ainsi, il faudra composer avec les sensibilités romandes, alémaniques et tessinoises propres à la Suisse. Dans le pays, ce sont plutôt les alémaniques qui pèsent le plus dans les affaires liées à l’armée de l’air tandis que les tessinois font souvent front avec les romands face aux velléités hégémoniques de Zurich. Ainsi, les germanophones compteraient négocier le retour de leur base de Dübendorf dans les rangs des « Air Base » suisses. Berceau de l’aviation militaire suisse, cette base qui tient à cœur aux zurichois majoritaires dans l’armée de l’air est aujourd’hui mise un peu de côté. Ainsi, le retour en grâce de Dübendorf serait un point chaud des négociations à venir. Un point qui décidera aussi peut-être les alémaniques à pencher vers le Rafale. Ces derniers se complaisent à se souvenir de l’affaire des Mirages et seront surement plus enclins à appuyer la candidature de l’Eurofighter, puisque portée par l’Allemagne. Il ne faut pas oublier cependant que le bruit de l’appareil reste un élément déterminant dans le choix du futur chasseur suisse. Soumis à un vote populaire il y a deux ans, le Gripen est le mieux placé pour répondre aux exigences locales. Seul avion monoréacteur en course, il fait logiquement office de challenger. Ne perdons pas de vue non plus que les négociations ont lieu à Zurich (ce qui appui l’argument de Dübendorf). Ainsi, la sphère zurichoise de l’UDC, parti politique du ministre de la défense Ueli Maurer, modifie le paysage des négociations. Pour le moment, la réflexion sur le futur d’un avion de combat moderne en Suisse s’est rattachée à l’élaboration du RAPOLSEC. Ce rapport sur l’avenir de la sécurité en Suisse se fait sous l’autorité du conseiller fédéral Ueli Maurer mais, c'est le centre d'études sur la politique de sécurité de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich qui aura mené les auditions préliminaires. C'est pour cela que nous devons attendre l'automne, soit le temps qu'il faudra pour que la procédure de consultation du RAPOLSEC se termine. Cette procédure dure trois mois mais peut être raccourcie en cas d'urgence. Pour l'instant, il n'en est pas question officiellement puisqu'elle ne figure pas encore à l'agenda de la Chancellerie fédérale. Si l'élaboration du rapport ne concerne pas directement l'avenir de l'avion, il sert vulgairement d'alibi. Un temps mis à profit pour organiser des alliances de circonstances comme ce fut déjà le cas en 2004 pour l'acquisition de nouveaux avions de transports Casa C-295M. Mais aussi pour défricher une décision politique et économique sensible. Une lueur d'espoir pour le Rafale mais le Gripen reste le challenger. Reste que des éléments encourageants continuent d’arriver de Suisse. Suivant le positionnement clair de Dassault Aviation, Madame Doris Leuthard, présidente de la Confédération, voit dans ce nouveau contrat une soutient à l’économie suisse en difficulté. Nous en parlions déjà dans le passé, pour elle, l’acquisition de nouveaux avions créera plus de richesses dans le pays que la somme concernée par l’achat de ces derniers. Un raisonnement logique mais qui subit les frondes de l’histoire. Beaucoup de garanties sont alors attendues de la part des avionneurs sur ce dossier. La validité des offres constructeurs est elle aussi soumise à la pression des reports de la décision suisse. Les principaux enjeux étant finalement le prix, la nuisance sonore, les retombées économiques et industrielles ainsi que la disponibilité de l’appareil. Pour cela, le Gripen s’affiche clairement comme le challenger. En effet, c’est à la fois l’avion le moins cher, le moins bruyant et surtout, des appareils seront immédiatement disponibles depuis la Suède. De son côté l’Eurofighter, possède lui l’avantage d’être soutenu par Berlin. Cependant, aux vues des récentes altercations en Suisses et Allemands sur des questions politiques et financières, cet argument est bancal. Surtout que l’avion est parfois mal considéré au sein des forces suisses. Pour certains, il s’agit plus d’un appareil de transition en attendant les F-35 américains qu’autre chose. Ainsi, le concurrent le plus sérieux du Gripen NG est le Rafale français. Appareil le plus sophistiqué des trois, il pâtit surtout de son prix. Sur tous les autres termes, il est clairement compétitif surtout en termes de retombées industrielles. Reste alors à préciser dans quelles mesures les usines de Dassault seront à même de fournir l’armée de l’air suisse. Les lignes tournants actuellement au ralenti, des solutions seront à trouver surtout dans le cas où les contrats émiriens et brésiliens se concrétisaient. Cependant, comme ce fut le cas avec l’acquisition des F-5 Tiger, les Suisses pourraient choisir un appareil plus bon marché mais aux retombées indirectes moindres. Un appareil moins cher et rassemblant un consensus en Suisse tant sur le point de vue budgétaire que sur celui des nuisances sonores toutes relatives. De plus, on peut difficilement comparer les performances du chasseur suédois avec celles de l’avion français. Ceci alors que l’on parle de plus en plus d’améliorations significatives chez Dassault. Laissons-nous alors aller à parler d’une furtivité accrue (annulation active) et pourquoi pas de lancement de micro-satellites. (Dernière édition le 30 avril 2010 08:13) _________________ Dreamcastel |
||
![]() ![]() |
||
kaysersoeze
Inscrit le 24/08/2007 |
# 2 mai 2010 16:25 | |
il faut que Dassault fasse passer son Rafale pour un appareil suisse. non non, ce n'est pas une blague ! en suisse cela marche comme ça: on met "swiss quality" sur tout et n'importe quoi (du terreau pour plante au yaourt) et les gens marchent à fond. Pour cela, il faut que Dassault s'engage à fond dans l'industrialisation sur place avec Pilatus et Ruag, identifie les industriels UDC/SVP qui pourraient être embarqués dans le projet (attention, ne pas parler de corruption, c'est mal ! plutôt parler de pragmatisme.. c'est LE terme à utiliser) chouchoute un peu les officiers suisses-allemands de l'etat major en appuyant bien sur la fibre patriotique et voila ! Par exemple, une ou 2 belles photos du Rafale, avec une croix suisse à coté du Cervin, c'est kitsch à mort mais ca marche à fond.. |
||
![]() ![]() |
||
nago
Inscrit le 07/01/2007 |
# 2 mai 2010 22:50 | |
Castel, Les Mirage IIIS-RS et Bi ne volent plus en Suisse depuis plus de 10 ans. Une petite récapitulation de qui c'est passé pour remplacer les DH-100, DH-112 et 115: http://www.lw.admin.ch/internet/luftwaf ... riiis.html (C'est juste pour cadrer cette affaire qui a envenimé l'AA suisse dans les années 1960) |
||
![]() ![]() |
||
castel
Inscrit le 13/12/2006 |
# 10 juin 2010 15:44 | |
La Suisse se rapproche tout doucement du Rafale. Selon la presse suisse, le chef du Département fédéral de la Défense devrait finalement proposer l’achat d’une première tranche d’une douzaine d’avions de chasse au lieu des 22 envisagés initialement. Dans ce pays s’affrontent l’Eurofighter, le Gripen et bien sûr le Rafale. Depuis quelques mois, les manœuvres se multiplient et le chasseur d'EADS perd visiblement du terrain face aux deux autres avions. En Suisse, nous nous acheminons de plus en plus vers un duel entre le Rafale de Dassault Aviation et le Gripen de Saab. Une sorte de revanche des années soixante pendant lesquels le Mirage III l’avait remporté face au J-35 Draken. Pour le moment, il est impossible de savoir quel sera le vainqueur alors que cette nouvelle manœuvre pourrait avantager le chasseur français. Des achats par tranches réduites. La nouvelle proposition faite par Ueli Maurer sera encore étudiée par le Conseil fédéral durant ce mois de juin avant d’être éventuellement approuvée lors de la rentrée parlementaire à l’automne. Elle propose un achat d’une première tranche de douze appareils qui serait suivie par deux à trois séries de 5 à 6 avions. Cette première acquisition serait alors étalée au-delà de 2020, soit avant la mise au placard des F-18. C’est plus tôt que ce qui était prévu par l’appel d’offres initial, ce qui amènera une nouvelle question au niveau des avionneurs. Les lignes de production du Rafale tournent au ralenti puisque seuls les appareils pour l’armée de l’Air française ont été commandés. Chez Saab, c’est un peu le même topo alors que le chasseur voit son carnet de commandes se vider au fur et à mesure que les appareils sortent des lignes. Ne plus remplacer les F/1-5 mais bel et bien les F/A-18 Hornet. Dans le meilleur des cas, la Suisse souhaite remplacer sa flotte de Northrop F-5E/F Tiger II vieillissants en attendant de remplacer dans la foulée ses F/A-18C/D Hornet qui arriveront au terme de durée de vie en 2025. Un renouveau complet mais qui n’est pas du goût de tout le monde dans ce pays d’autant plus que la facture est élevée en ces temps de compression des budgets. De plus, nous parlions récemment d’une éventuelle remise à niveau des compteurs, ce qui entrainerait une nouvelle procédure d’évaluation des avions. Dans ce projet de résolution de Ueli Maurer, une nouvelle évaluation serait à exclure. Du coup, les Américains toujours à l’affut, notamment avec le F-35, ne pourraient pas se joindre à la fête. Quel bénéfice pour le Rafale ? C’est cet achat par tranches qui pourrait finalement bénéficier au Rafale français. Un choix rapide, puisqu’il serait attendu avant la fin de l’année, avantagerait sérieusement un Rafale au standard F3+ dont le développement est déjà avancé face à un Gripen E/F dont beaucoup d’éléments sont encore en développement. Le développement du standard F3+ est quasiment terminé chez Dassault, alors que l’arrivée d’un hypothétique standard F4 finirait d’argumenter en faveur du chasseur français. Question motorisation, on a aussi fait des progrès. Le premier vol de l'avion d'essais Rafale équipé d'un moteur M88-4E (ex « Pack CGP » du moteur M88-2) de Snecma (groupe Safran) s'est déroulé avec succès le 22 mars dernier à Istres. La campagne d'essais du M88-4E comporte 70 vols à effectuer en 2010, avec différentes configurations moteur. Du côté suédois, le Gripen NG Demo continue ses démonstration mais avec un peu de retard. La semaine dernière, l'avion de démonstration Gripen NG a fait ses débuts internationaux en participant à la dernière phase des essais d'évaluation indiens pour l'offre MMRCA (avion de combat multi-rôle moyen). D’ici l’automne, toutes les garanties ne seront peut-être pas au rendez-vous pour répondre au cahier des charges helvétique. Dans tous les cas, nous le savons, le chasseur français ne doit pas démontrer sa supériorité technologique sur le chasseur suédois aussi bon soit-il. C’est d’ailleurs pour cela que le Rafale a du mal à se vendre. Outre une supériorité technologique indéniable, il coûte toujours cher. Dassault s’est engagé à faire beaucoup d’efforts sur le dossier des compensations accordées à la Suisse. Appuyée par la ministre de l’Economie, Doris Leuthard, ce dossier pourrait rapporter près de 6Md CHF pour le Rafale contre 4,8Md CHF pour le Gripen. Pour cause, les industriels suisses participeront à la production des chasseurs mais seront aussi invités à participer à d’autres projets dans l’armement ou dans l’aviation civile. Ces « offsets » directs et indirects représentent un gain pour les industriels locaux sachant que selon Armasuisse en charge du contrôle de ces dernières, 2Md CHF en compensations génèrent du travail pour 2 500 personnes durant de longues années. Elles seront donc déterminantes dans ce dossier sachant qu’elles seront bien supérieures à la facture qui devrait atteindre les 3Md CHF. Cependant, le pays se souvient d’une mauvaise évaluation faite lors de l’acquisition des F-18 américains ou même des Mirage III dans le passé. Inutile de rajouter alors, qu’il s’agit là d’un dossier sensible. _________________ Dreamcastel |
||
![]() ![]() |
||
lequebecois
Inscrit le 11/02/2007 |
# 10 juin 2010 16:26 | |
Bonjour, En contre-partie : EADS s'entend avec RUAG Aerospace pour près d'1 milliard $US (maximum) pour différents service de production et d'entretien sur l'Eurofighter. Tout ça dans le but d'être sélectionné en Suisse... http://www.aviationweek.com/aw/generic/ ... el=defense _________________ Le bonheur est une pause entre deux emmerdes ! Adepte de la discutaille du coin du comptoir du café de la gare |
||
![]() ![]() |
||
nago
Inscrit le 07/01/2007 |
# 10 juin 2010 19:03 | |
Je n'avais pas oser lier... Dans le même temps, une zone d'entraînement helvético-italienne vient de s'ouvrir et des Typh viennent poser à Payerne. Tout comme les Raf , pardon les 2000. Une vraie auberge espagnole! |
||
![]() ![]() |
||
nago
Inscrit le 07/01/2007 |
# 23 juin 2010 21:49 | |
Vous rigolez ou pleurez? http://psk.blog.24heures.ch/archive/201 ... tml#c71220 |
||
![]() ![]() |
||
nago
Inscrit le 07/01/2007 |
# 21 juillet 2010 15:54 | |
http://psk.blog.24heures.ch/ La NG de Saab vole! |
||
![]() ![]() |
||
Effgez
Inscrit le 02/12/2008 |
# 21 juillet 2010 16:34 | |
Salut Nago! Dites-moi, nos amis suisses ont ils des règles orthographiques différentes du français de France? En effet, le titre de l'article du lien que vous avez donné est: "Farnborough : Présentation public du Gripen NG !" Ne faudrait-il pas écrire "Présentation AU public", ou "Présentation publiQUE"? Ceci me permet de remarquer que malheureusement les fautes d'orthographe sont également légions sur les sites de la plupart des journaux français... Tout fout le camp! ![]() @+ Effgez |
||
![]() ![]() |
||
seb2411
Inscrit le 17/06/2010 |
# 21 juillet 2010 18:40 | |
Oui enfin c'est pas vraiment le Gripen NG. C'est je crois un gripen normal avec quelque modifications qui seront également apportés au vrai Gripen NG. Ce dernier doit notamment avoir une voilure totalement redessiné. | ||
![]() ![]() |
||
nago
Inscrit le 07/01/2007 |
# 21 juillet 2010 18:58 | |
Il ne faut pas croire, mais être certain! (Je ne pense pas que le communiqué de presse soit "trompeur" pour faire joli. Quant à Effgez, parfaitement d'accord. (seb2411 devrait en prendre de la graine!!!!) |
||
![]() ![]() |
||
KER747
Inscrit le 21/07/2008 |
# 13 août 2010 21:13 | |
Bonjour à tous, Moi je dis que si on ne vend pas le Rafale en Suisse ou l'avions sortant est français, avec les liens linguistiques, culturels, économiques, ou l'antirafalisme Américain aura un impact très réduit.........on ne le vendra nul part!!! |
||
![]() ![]() |
||
nago
Inscrit le 07/01/2007 |
# 25 août 2010 16:11 | |
Moi je dis que si on ne vend pas le Rafale en Suisse ou l'avions sortant est français, avec les liens linguistiques, culturels, économiques, ou l'antirafalisme Américain aura un impact très réduit.........on ne le vendra nul part!!! http://www.teletext.ch/TSR1/108-00.html |
||
![]() ![]() |
||
Vector
Inscrit le 26/06/2007 |
# 25 août 2010 18:33 | |
Après avoir lu les derniers développement helvétiques, je me demande si la Suisse a vraiment besoin d'avions de combat. Le Vampires et autres Hunters ont fait bien de l'usage. Les F-5 et les F-18 aussi. Ne serait-il pas temps de voir plus grand ? Que diriez-vous d'une brouette armée, peut-être même blindée, même en version NG ce serait plus économique et il n'y aurait peut-être pas besoin de faire des compromis sur les comptes bancaires. Aux armes citoyens. _________________ " Des trolls, n'en jetez plus, la cour est déjà pleine !" Vector |
||
![]() ![]() |
Ajouter une réponse
Vous devez être inscrit et connecté sur AeroWeb pour pouvoir ajouter une réponse à ce sujet !