L'Aviation : Histoire, récits ...

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eolien
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# 10 novembre 2013 10:47
Ma photo préférée ...

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et la votre ?... wink

(Dernière édition le 10 novembre 2013 10:50)

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Mac59land
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# 10 novembre 2013 11:59
eolien a écrit :Ma photo préférée ...

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et la votre ?... wink
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lemichou91
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# 10 novembre 2013 13:58
eolien a écrit :Ma photo préférée ...

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et la votre ?... wink
Quel bel appareil ! quelle classe !
Dommage que 1 fois sur 3 il finissait la traversée de l'Atlantique sur 3 moteurs...
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eolien
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# 11 janvier 2014 12:09
Bonjour,
Voici un récit que j'ai extrait des Mémoires qu'un Ami m'avait confié, où il racontait son arrivée en Algérie et sa vie d'enseignant jusqu'à son départ pour la France, lors de l'indépendance.
Il vivait dans une oasis, Touggourt.

Son prénom était Gustave, mais tous, nous l'appelions Tatave.
Il était un homme de bien.
Cela résume les immenses qualités dont la nature l'avait doté, qualités humaines, qualités techniques : un Homme exeptionnel.

Il a terminé sa carrière comme Chef du Centre de la Montagne Noire et nombreux sont ceux qui ont eu la chance de le côtoyer dans le milieu de l'Aviation.
La vie ne l'avait pas épargé, il avait perdu son fils dans un accident d'avion, ce fils à qui il avait appris à piloter et avec qui il partageait la même passion.

Voici donc ce récit, magnifique et émouvante confidence :

" Un jour, l'Administrateur de la Comrnune Mixte me fait appeler par un de ses soldats. Il me reçoit aussitôt dans son bureau où se trouve déjà le Médecin. Après les salutations d'usage, il me dit :
- Il y a eu dans une fraction de la Tribu des Chaarnbas, un règlement de compte à la suite d'une histoire de femme. Il y a là-bas un nomade qui a la gorge tranchée d'une oreille à l'autre. Le"sourire Kabyle", si vous voyez ce que je veux vous dire. Mais, le type n'est pas mort. Les gens de sa famille ont arrêté I'hémorragie. Il vit, mais il n'est pas transportable par les pistes en voiture. Il faudrait tenter de le «convoyer» sur Alger. Pouvez-vous l'amener avec un avion ?
- Difficile de vous répondre. Pour l'évacuer, il faut d'abord se poser. lls sont où ces Chaarnbas?
- Je vous les positionne sur cette carte. C'est au N-W d'Hassi M'rara. Ils sont aux pâturages. C'est plat, et le sol est du "reg" (sable et graviers). C'est à 130 Kilomètres.

Le médecin ajoute :
- Moi,.je ne peux pas grand chose pour cet homme. Ou vous Ie transportez à Alger où il sera pris en chirurgie, ou on le laisse là-bas et il mourra. Quant à l'amener ici en Land Rover par la piste, avec la tôle ondulée (l), il sera mort avant d'arriver. Si vous y allez, Hamza, l'infirmier, ira avec vous.
(l) tôle ondulée : ondulations de la piste routière.
- D'accord. Le temps de passer chez moi, de voir la météo et l'avion. Amenez Hamza à l'aérodrome. Décollage dans une heure.
Il était un peu plus de dix heures, ce matin-là, Iorsque je décolle de Touggourt le Norécrin F-OAUS, avec ce brave Hamza à coté de moi. Le mêrne Hamza qui avait porté ma valise de Ia gare des Chemins de fer Algériens à l'hôtel de l'Oasis le 15 septembre 1949. Il avait fait trois ans d'études au Collège technique, avec moi, en mécanique. Il avait fini comme infirmier en second à l'Hôpital. Comme quoi, notre enseignement technique rnenait à tout. Et Ie plus drôle était que, ma foi, tout le monde était satisfait de ses services.
Lui, ce qui lui plaisait c'était le voyage en avion. Le reste, il s'en foutait complètement. D'ailleurs,il disait:
- Radjel addack grib y mout. Zouje ou la tléta lioum. Inta temchi batal mel El Djezairl
Ce qui voulait dire :
- Cette homme là va bientôt mourir. Deux ou trois jours. Toi tu vas à Alger pour rien.
Et je répondais :
- Inta Messelmin. Anna mouchi Messelmin. Bessah, Sidi Moharned galek fi ou koul Messelmin : Allah a Kbar!
Ce qui veut dire :
- Toi tu es Musulman. Moi, je ne suis pas Musulman. Mais, le Prophète Sidi Mohamed a dit à tous les Musulmans : «Dieu est grand».
Alors il m'a embrassé la main , et il m'a dit:
- Inta Radjel m'lher (Toi tu es un homme bon)

Quarante minutes après mon décollage, j'étais sur le site. ll ne me fallut pas plus de cinq minutes pour trouver la tribu, à cause des chameaux que je voyais de mon avion. Et puis, dans un petit thalweg, j'ai vu les "Rhaïmas" et les tentes nomades, et les gosses qui jetaient en l'air leurs chéchias.

J'ai choisi une bande de "Reg", a peu près plate et sans obstacles. J'ai descendu le train d'atterrissage et les volets à 20" et j'ai fait un passage à trois ou quatre mètres de hauteur pour observer le sol.
C'est bon. Longueur disponible 500 rnètres. Après une procédure d'approche courte, le Nord 1203 s'immobilise au sol. L'infirmier sort la civière de l'avion, et nous marchons vers le campement. Les hommes nous entourent, et les femmes réunies près d'une tente font entendre leurs "you-you".

Voir l'image

Derrière l'une de ces tentes le blessé est là, allongé à mêrne le sol. Il me regardefixement.
Et, lorsqu'ils retirent la couverture qui I'abrite du petit vent, j'ai un sursaut et une envie de vomir rne saisit. Le malheureux a le coup coupé, et, pour arrêter l'hémorragie qui s'en est suivie, ils ont colmaté Ia brèche avec du sable du désert bien pollué par l'urine des chèvres et des chameaux.

Une espèce de ciment, rouge de sang, entoure la blessure. C'est très impressionnant, d'autant que pour le mettre sur la civière il va falloir le bouger.

Une chance, il a gardé le burnous qu'il portait au moment de sa blessure. Je fais apporter la civière contre lui. C'est une civière extra plate, en aluminium conçue pour I'avion.
Et je mets six hommes qui le saisissent par le burnous et un septième qui lui soulage la tête.
Ils le soulèvent, ce qui me permet de glisser la civière sous lui. Je fixe les ceintures, après avoir vérifié qu'il détenait sur lui ses papiers d'identité. Pendant que Hamza s'occupait de le faire embarquer dans l'avion, je parcours rapidement la surface sur laquelle je vais décoller l'avion et je mets un nomade de Ia tribu de chaque coté de l'extrémité de la surface que j'ai choisie, à distance de sécurité.
Le décollage se déroule sans problème avec la procédure "décollage piste courte". ll fait beau, et Hamza me dit que le blessé va bien.
A la verticale du Kef f'acherchour, je débute la descente, et seulement alors j'ai le contact radio avec Alger-Maison-Blanche. J'annonce l'évacuation sanitaire urgente et demande une ambulance et un médecin à l'arrivée. Au parking, je rencontre le Docteur, lui fait signer le papier de prise en charge du blessé à qui je dis quelques mots :
- Mat rafch. Droc rlass.Addak t'bib i chouf intya. Mazel tlétine lioum t'tla mel foug djemel me blédek. Salam alikoum. Mat rafch, koulchi labess.
Ce qui veut dire:
- N'aie pas peur. Maintenant c'est fini. C'est lui le docteur qui va te regarder. Encore trente jours et tu seras sur ton chameau dans ton bled. Salut ami. Ne t'inquiète pas, tout va bien.

Ils l'emmènent dans cette ambulance blanche rnarquée aux armes de I'Hôpital Civil d'Alger.
Je demande l'avitaillement essence de mon avion, passe au bureau de piste, et, après un çasse-croûte à la cafétéria de l'aérogare, je décolle d'Alger pour Touggourt que j'atteins après deux heures trente de vol.

Environ trois mois après cette évacuation à laquelle je ne pensais plus, nous étions à table pour le repas de midi. Quelqu'un frappe à la porte.
Josette, I'aînée de mes deux filles saute de sa chaise et va ouvrir. Elle revient en courant pour me dire :
- Papa, c'est un Arabe. Il vend des poules.
- Dis lui que I'on ne veut pas de poules.
Et, comme je l'entendais dire à l'Arabe "Emchi Emchi" (va-t'en - va t'en) je me suis levé pour aller voir ce marchand de poules. Et je lui dis:
- Sarrha ya sidi - ma n'chriche el djédja .
(Merçi à toi, mais je n'achète pas de poules )
- 'Ma n'béatou . Anna natek fi intiya ou familia ' Ma taarf annaya ?
(Je ne les vends pas. Moi je te les donne ainsi qu'à ta famille. Tu ne sais pas qui je suis ?)

El il retire son chèche autour de son cou pour me montrer une cicatrice terrible avec les marques des points de suture.

C'était cet Arabe que j'avais transporté à Alger, depuis le bled des Chaarnbas ! Il était venu à pied jusqu'à la piste Biskra - Touggourt, puis ainsi, simplement, avec seulement ce qu'il possédait, il était venu me remercier de lui avoir sauvé la vie.

Je l'ai fait entrer et asseoir, et nous lui avons offert à manger et à boire. Et puis, il a fallu penser à repartir.
Je lui ai demandé :
- Quifeche t'emchi rne I'blédek drouk ?
(Comrnent vas-tu repartir chez toi, maintenant)
- N'emchi be trig.
( Je m'en vais par la route)

Alors, pensant qu'il allait encore mettre, sans doute, même en grimpant dans un camion à destination de Biskra, au moins deux jours pour revenir dans sa tribu, je l'ai pris dans ma voiture et conduit à l'aérodrome. Là, j'ai sorti le Fairchild Ranger, et, trente minutes plus tard je le déposais sur la petite piste de Hassi-M'Rara. C'était sur sa route, et il était à cinq heures de marche de chez lui à travers le reg.
Au moment de nous quitter, il m'embrassa l'épaule et la main, et il me dit :

- Nous nous retrouverons devant Dieu qui te rendra justice de ce que tu as fait pour moi.

Longtemps, ce Nomade Chaamba à qui j'avais sauvé la vie, a dû raconter l'histoire de son voyage en avion vers un hôpital d'Alger.
Et, je suis certain aussi qu'il a dit :
" Sans ce pilote Français qui est venu me chercher, et qui m'a amené à Alger, je serais mort. Je lui dois la vie, et s'il était là, maintenant, il entrerait sous ma tente comme dans sa maison. Qu'Allah le garde et le protège."

Je n'ai pas été seul à apporter aide et assistance, dans la mesure des moyens dont nous disposions. Ce fut, durant toute Ia durée de cette guerre , I'action des Aéro-Clubs d'Algérie et des pilotes compétents et volontaires pour le faire .
Et, si j'ai considéré le FLN comme I'ennemi de mon Pays, je n'ai jamais haïs les Arabes. Bien au contraire, Français né sur le même territoire qu'eux-mêmes je me sentais parfaitement installé et heureux d'y vivre, au coeur même de ces paysages qui me manquent tant aujourd'hui, mêlé à leurs coutumes, leurs habitudes et leur religion.
Ainsi, destiné à vivre ma vie avec eux, j'ai tenté loyalement de leur transmettre tout ce qu'il était possible, à mon niveau . Et, lorsqu'il a fallu intervenir pour que l'un d'eux puisse être soigné ou sauvé de la mort, je n'ai jamais hésité. Cela, je le dit en toute humilité, mais avec fierté."

Tatave

Ps : ce que ne dit pas Tatave dans ce récit mais qu'il m'a raconté , c'est que pendant le vol il avait "bavardé" avec le blessé. monologue vu l'état du bonhomme. Connaissant leurs coutumes, il savait qu'il fallait le préparer aux soins qu'il allait recevoir. Il lui avait dit :
"Tu seras soigné par des femmes. Ce sont des infirmières. Elles vont te laver, tu ne dois pas le refuser, il faut l'accepter, il n'y a rien de mal.
Peut-être même il y aura des religieuses. Il faut l'accepter, il n'y aura aucune offense et toutes te respecteront."

J'ai corrigé les erreurs en français liées à la transcription OCR, pour l'arabe, il peut y avoir quelques erreurs ...

(Dernière édition le 11 janvier 2014 12:28)

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Vector
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# 11 janvier 2014 22:48
Superbe récit et magnifique avion le L-1649, pas le Norécrin !

_________________
" Des trolls, n'en jetez plus, la cour est déjà pleine !"
Vector
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eolien
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# 2 février 2014 09:37
Détresse sur le Pacifique ... plus loin ...

(Dernière édition le 9 février 2014 10:31)

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aixchile
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# 4 février 2014 09:43
Bonjour à tous et bonjour Eolien,

Époustouflante suite !! A ce récit haletant dont je ressors une fois de plus trempé, imprégné d'odeurs de vomi, je suis aussi dans l'expectative de cette romance naissante !!! Bravo Eolien, vous avez une sacrée plume !
Vivement la suite !
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eolien
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# 4 février 2014 12:19
Bonjour Aixchile,

Merci, je transmettrai à qui de droit ... smile

Avez-vous noté sur la "photo" la position de la piste à Port Vila, sur la droite, derrière la ville et en travers ?...

Bonne journée,
Eolien
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Papyrus
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# 4 février 2014 13:19
Bonjour,
Oui, ce récit est véritablement passionnant, haletant même par moments. Et bien écrit, cequi le rend agréable à lire.
Merci de nous le faire partager.
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aixchile
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# 4 février 2014 16:36
Bonsoir eolien,

eolien a écrit :Avez-vous noté sur la "photo" la position de la piste à Port Vila, sur la droite, derrière la ville et en travers ?...
Eolien
Non je n'avais pas remarqué. Maintenant que je l'ai vue, je ne sais pas trop quoi en penser... Les reliefs sont tout près mais pas dans l'axe... sauf que le vent vient du 200 et vous renvoie donc fatalement vers ces reliefs... Conclusion : on a vu mieux pavé au vu des conditions.

L'analyse est-elle bonne ?

Au plaisir de vous lire.

(Dernière édition le 4 février 2014 16:36)

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eolien
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# 5 février 2014 10:26
Bonjour Aixchile,

L'analyse est correcte.
Pour la suite, je pense que c'est une bonne de chose d'avoir en tête la topographie du lieu.

L'arrivée se fait sur la mer : les avions entrent par la baie, de face sur l'image, (qui écrase le relief en réalité assez prononcé), suivent la barrière montagneuse sur la gauche et virent à droite vers la piste.
Les minimas sont vers 1000 pieds, c'est donc une arrivée quasiment à vue, et à vue avant le dernier virage.
Il faut passer sur un ilot, l'ilot Mélé, et virer juste après.

Dans le cas de ce F27 en très très mauvaise posture, il va arriver vent arrière et après avoir viré à droite aura le vent plein travers de la droite ...
Vent, pluie, turbulences, une jambe tendue sur le moteur en fonctionnement., l'autre plus passive : on dit "Pied mort-Moteur mort". Combien sont morts, pilotes et passagers pour l'avoir oublié ... sad

Je devais faire passer un test PPL ce jour : annulé : pluie, vent, turbulences !... wink repoussé à vendredi.
Je vais en profiter pour avancer dans la mise en page de ce récit ... pour être au rendez-vous dimanche !

Bonne fin de semaine ... smile
Eolien

(Dernière édition le 5 février 2014 10:33)

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eolien
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# 9 février 2014 10:30
Bonsoir,
la suite de "Détresse sur le Pacifique" un peu plus loin ...

(Dernière édition le 24 février 2014 23:39)

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chibani31
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# 9 février 2014 15:00
petite correction quand meme:
le F27 est le fokker 27 fabriqué par les hollandais et surnomé F27 friendchip..avion tres fiable
le fairchild 27 est sa copie americaine fabrique sous licence fairchild.. et baptisé FH227..bien moins fiable..

_________________
les ricains ont fait piloter des singes..ils n'ont jamais reussis a en faire des mecanos!!!
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aixchile
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Inscrit le 28/12/2009
156 messages postés

# 9 février 2014 21:38
Bonsoir à tous,

Eolien, cette histoire est incroyable !! Les lumières des pistes en vrac !! Non mais c'est quoi cette situation apocalyptique ??? Chapeau l'artiste !
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eolien
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6 996 messages postés

# 9 février 2014 23:19
Bonsoir,

Pour Chibani : Le Fairchild F27 du récit est un F-27A (version 44 sièges pouvant aller à 48.)
Il avait une porte arrière gauche pour l'embarquement des passagersi ntégrée et qui remontait par énergie pneumatique ... comme le train d'atterrissage ...

Le FH-227 est une version allongée, pouvant aller jusqu'à 56 passagers.

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Pour Aixchile : on crève toujours sous la pluie, alors que l'on est pressé, et il manque la manivelle !... smile
C'est la poisse !...

Bonne soirée,
Eolien

(Dernière édition le 9 février 2014 23:37)

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